En France, près de 17 000 personnes décèdent du cancer du côlon. C’est le troisième type de maladie cancérigène le plus développé par les citoyens de l’hexagone. Avant de déclarer le cancer du côlon à un patient, différents examens sont exigés. Découvrez ici comment cela se passe.
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Déclarer le cancer du côlon : les symptômes annonciateurs
Dans certains cas, surtout pour les personnes âgées de plus de 50 ans, ce sont les médecins qui exigent un dépistage afin de savoir si l’individu souffre de la maladie. Cela permet, en cas de diagnostic positif, d’effectuer les bilans de santé nécessaires et de mettre en place un traitement rapide.
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En général, ce sont malheureusement les symptômes qui alertent les malades et les poussent à consulter un professionnel de la santé. Entre autres manifestations pouvant attester du cancer de côlon, figure :
- la constipation ;
- la diarrhée ;
- la nausée et le vomissement ;
- la sensation d’un rectum non vidé, etc.
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Puisque plusieurs autres maladies peuvent provoquer ces réactions, il est important de se rendre dans un établissement de santé pour avoir le cœur net.
Déclarer le cancer du côlon à la suite des examens
Lorsque le patient visite son médecin traitant pour confirmer ou infirmer la maladie, ce dernier le dirige vers le spécialisé en gastro-entérologie. En général, il analyse les parois du rectum à travers un examen appelé coloscopie. C’est ce dernier qui permet d’attester si les symptômes présentés par le patient sont dus ou non au cancer du côlon.
Effectuez un bilan de santé en cas de maladie
Après un examen positif, le médecin traitant peut déclarer le cancer du côlon au patient. Afin de diminuer les infestations et de guérir par la suite le malade, un bilan de santé est demandé. Mais plus concrètement, le bilan permet de connaître l’état de santé du patient. Il renseigne aussi sur les traces de l’ACE (Antigène Carcino-Embryonnaire) dans son organisme.
D’autres analyses complémentaires peuvent être exigées toujours dans le but de préserver la santé de la personne atteinte du cancer. Ainsi, il peut être demandé un scanner de l’abdomen et de la région pelvienne. Selon les besoins du médecin traitant, vous pouvez aussi procéder à une IRM ou une échographie de l’abdomen et de la région pelvienne.
À la suite de ces examens, l’étendue du mal est située et des soins appropriés sont apportés au patient.
Pourquoi faut-il passer l’examen de la coloscopie ?
L’examen permet non seulement de déterminer le mal, mais aussi de savoir s’il est persistant. Avec la coloscopie, votre médecin traitant peut déclarer le cancer du côlon comme affectation de longue durée. Cela vous permet de bénéficier d’une prise en charge des soins de santé par votre compagnie d’assurance maladie.
Quels sont les facteurs de risque du cancer du côlon ?
Le cancer du côlon est principalement lié à des facteurs de risque qui peuvent être évités. Parmi ces facteurs, on peut citer une alimentation riche en matières grasses et faible en fibres, ainsi qu’une consommation excessive d’alcool et le tabagisme. Les personnes atteintes d’un syndrome de Lynch ou d’une maladie inflammatoire de l’intestin sont aussi exposées à un risque plus élevé.
Les personnes doivent prendre des mesures préventives dès que possible pour réduire leur probabilité de développer la maladie. Cela implique habituellement un changement dans les habitudes alimentaires et la cessation du tabagisme ou la limitation des boissons alcoolisées.
De même, il existe plusieurs options pour faire face aux syndromes chroniques tels que le syndrome de Lynch ou la maladie inflammatoire intestinale. Il faut donc rester vigilant afin d’éviter toute complication pouvant survenir à cause du cancer colorectal.
Connaître les facteurs majeurs responsables du cancer colorectal permet aux gens non seulement de minimiser leur exposition aux risques, mais aussi d’assurer une qualité supérieure d’existence, étant donné qu’il s’agit souvent là d’actions bénéfiques sur l’organisme tout entier.
Comment prévenir le cancer du côlon ?
Le cancer colorectal est l’un des cancers les plus répandus dans le monde entier. Toutefois, il existe plusieurs manières de prévenir la maladie et d’en minimiser les risques.
La première étape pour prévenir ce type de cancer est de s’assurer une alimentation saine et équilibrée. Les aliments riches en fibres, tels que les fruits et légumes frais, sont particulièrement importants pour maintenir un bon fonctionnement du système digestif. Pensez à bien limiter la consommation d’aliments gras et transformés.
Il est aussi recommandé aux personnes qui présentent un risque accru de développer un cancer colorectal (en raison notamment d’une histoire familiale) de passer régulièrement des examens médicaux tels que la coloscopie.
Adopter un mode de vie sain peut contribuer à réduire considérablement les chances de développer cette maladie. Cela inclut notamment une activité physique régulière (une marche rapide quotidienne peut faire beaucoup), ainsi qu’une modération dans sa consommation d’alcool.
Ne jamais oublier que la surveillance attentive des symptômes inhabituels représente toujours le meilleur moyen pour diagnostiquer rapidement tout signe avant-coureur du cancer colorectal. Effectivement, si cette affection n’est pas prise en charge immédiatement après son apparition initiale, elle peut se propager rapidement à travers le corps.
Pour toutes ces raisons précises, il devient donc primordial pour chaque individu conscientisé sur cette pathologie potentiellement mortelle de prendre toutes les mesures nécessaires pour prévenir et/ou détecter rapidement cette maladie.
